Sunday, December 16, 2007
Dog news de la Place des Salins
Je rentrais du supermarché ce matin, quand j'ai croisé dans la rue Goa, le frère de Diana. Sa maîtresse est la jeune femme qui a écrit à Mlle Espinasse, la présidente de l'Association Protectrice des Animaux de C-F, pour se plaindre de la maltraitance de Diana quand elle était toujours La Misère. Selon La Présidente, l'APA fait une enquête. Nous croyons tous que c'est une enquête qui n'aboutira jamais.
La grande nouvelle: La maman de Diana a eu une autre portée, et Olivier, le garçon qui a placé Diana avec Rémy, lui a proposé un autre chiot. Selon la jeune femme, elle et d'autres personnes a demandé à Olivier de ne pas le donner à Rémy. Maintenant Rémy est contrarié, il voulait son chiot. Surtout que dans l'avenue Marx Dormoy il fait un froid intense, un bébé chien qui grélottait lui aurait apporté plein de sous.
La maman de Diana habite à Poitiers (ou Limoges, personne n'est très sûr, la géographie comme tout le reste se perd en buvant). Elle appartient à la soeur d'Olivier, qui donne le trop plein de chiots à son frère à distribuer à Clermont-Ferrand. Malin, non?
Comment combattre la connerie, l'ignorance? Si seulement les vétérinaires étaient d'accord pour ouvrir des dispensaires où les stérilisations pourraient se faire gratuitement.
La grande nouvelle: La maman de Diana a eu une autre portée, et Olivier, le garçon qui a placé Diana avec Rémy, lui a proposé un autre chiot. Selon la jeune femme, elle et d'autres personnes a demandé à Olivier de ne pas le donner à Rémy. Maintenant Rémy est contrarié, il voulait son chiot. Surtout que dans l'avenue Marx Dormoy il fait un froid intense, un bébé chien qui grélottait lui aurait apporté plein de sous.
La maman de Diana habite à Poitiers (ou Limoges, personne n'est très sûr, la géographie comme tout le reste se perd en buvant). Elle appartient à la soeur d'Olivier, qui donne le trop plein de chiots à son frère à distribuer à Clermont-Ferrand. Malin, non?
Comment combattre la connerie, l'ignorance? Si seulement les vétérinaires étaient d'accord pour ouvrir des dispensaires où les stérilisations pourraient se faire gratuitement.